27 juillet 2011
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l'inquiétude générale à propos de la montée de la violence est une résultante de la cupidité ambiante qui atteint des paroxysmes invraisemblables y
compris dans les Pays nordiques, jusque là épargnés .
Comment ne pas admettre que les comportements humains, inextricablement liés à l'instinct de possession, doivent être corrigés dès le plus jeune âge par
l'éducation : des familles d'abord, puis de la société et de l'école?
Comment ne pas comprendre cette bombe à retardement et l'effet destructeur des films de plus en plus violents, sur des cerveaux influençables qui banalisent et
imitent les images dont ils sont abreuvés à longueur de temps ?
Comment ne pas comprendre qu'il est grand temps et peut-être déjà trop tard pour tenter d'enrayer cette gangrène sociale?
Comment ne pas comprendre que des règles sociales sévères sont indispensables et urgentes car comme le disait le célèbre Jean Yanne:
"tout le monde il est pas bon, tout le monde il est pas gentil !!"' ?
Ces questions présentent un tel caractère de gravité pour les générations actuelles qu'il semble indispensable que ce phénomène culturel soit prioritaire
dans les approches politiques des candidats nationaux .. avant que le processus engagé ne devienne irréversible , or cette préoccupation ne semble pas majeure pour l'instant,
malheureusement.
et ce n'est pourtant que par l'éducation des peuples, dont les effets sont lents, qu'une cautérisation peut être apportée ...