Le fantastique espoir suscité par l'élection du Président des Etats Unis, va-t-il étancher la soif de moralisation  du monde entier ? ...Seul, un homme d'exception comme lui peut avoir la capacité de relever cet énorme défi...les populations,  lucides,  les plus déshéritées surtout,  attendent avec ferveur la mutation programmée...

C'EST UNE CATASTROPHE MONDIALE :
Depuis quelques mois, tous les essaims d'abeilles sont décimés dans le monde ...et tous les scientifiques disent que l' espèce humaine ,ne pourrait pas survivre à la disparition des abeilles !!!

" la «  diabolisation » du politique

Alerte !

A plusieurs reprises récemment, j'ai eu l'occasion de me rendre compte d'une perception un peu affreuse que des gens autour de moi ont du politique. Du politique, c'est à dire de tous ceux qui, peu ou prou font de la politique.
Cela s'est  produit juste après les dernières élections. Les témoignages, auxquels je me réfère éaient bien involontaires et assez en périphérie d'un monde politique « puissant ».
Pourtant, ces réflexions, ces « cris  du coeur » ont été suffisamment violents pour que je me dise qu'il y avait vraiment quelque chose qui ne tournait pas rond.
Exagéré, disproportionné.. ? en tout cas, posant la question de la place de notre démocratie ? n'est-elle pas complètement malade ?
Diabolisation, c'est -à-dire, description, vision que je ne peux même pas qualifier de critique mais plutôt des réflexions exprimant un discrédit absolu et une vision intrinsèquement négative de la motivation de ceux qui oeuvrent dans l'univers politique.
Il s'agissait d'exprimer, finalement, que « parce qu'il s'agissait de personnes » agissant en politique, elles ne pouvaient qu'être « mauvaises ».
La disqualification « a priori » était tellement virulente, que j'avoue en être restée comme "deux ronds de flan". Cette disqualification était complètement disproportionnée par rapport à une situation relativement anecdotique et c'est la raison pour laquelle d'ailleurs, elle était aussi inquiétante.
D'autre part, elle venait de gens, plutôt susceptibles d'être « formés », d'avoir des responsabilités dans leur secteur de travail et donc un minimum capable d'esprit critique. D'où le renforcement d'une perception de « puissance négative » s'exprimant et le sentiment que c'était grave.
C'était grave d'entendre que les motivations des politiques semblaient uniquement être de « magouiller », de profiter... de détourner les lois, de « tirer les marrons du feu », d'utiliser les systèmes...
Ce qui est grave, c'est que ce serait d'abord, et intrinsèquement et a priori leur motivation. Pas d'alternative, pas de distinction, pas de quartier, aucune nuance.. un « tous dans le même panier » et disant tous n'importe quoi sauf la vérité... alors, bien simplement, je l'écris. Je l'écris pour dire tout haut, qu'il me semble qu'il devient urgent de rétablir un équilibre dans la perception que l'on peut avoir des politiques... dont une grande majorité ne sont que les victimes d'un système... qui noircit beaucoup d'engagements d'abord militants, souvent « gratuits » et au service de l'ensemble....de la société..
Et pour cela, il devient probablement urgent de mettre à plat ,voire de briser tous les systèmes de passe droit, toutes les zones de « protections mutuelles des puissants de ce pays », toutes les organisations « souterraines » qui alimentent cette vision qui me paraît être destructrice de l'ensemble de la société..
Cri dans le vide... cri sur un blog... nous avons une responsabilité de sursaut.. car sans doute, même imparfaite, la démocratie avec toutes ses tares mérite d'être défendue...
Hélas, le chemin risque d'être rude, lorsque le Président de la République exprime comme alternative à son rôle actuel le désir alternatif... « de faire du fric »... caricature de ce qui « discrédite » le politique, justement ou de ce qui est de l'imaginaire de tout un chacun comme le miroir des seules motivations de ceux qui s'engagent en politique.

La démocratie va vraiment mal car elle n'arrive plus à énoncer des perspectives de « mieux être » et de « mieux vivre », des équilibres entre « droits et devoirs »... et donc semble être en bascule vers un chacun pour soi pour tirer au mieux et individuellement les marrons du feu. Il y a ceux qui vont pouvoir prendre les marrons dans le feu et puis les autres qui ne peuvent que les hair d'avoir pris les marrons...
ls « politiques » en sont réduits aussi à rengainer leurs idéaux et à se rétrécir sur leur univers, qui devient un monde à part, dans lequel ils travaillent, souvent beaucoup, pour un « bien commun » dont le commun se fout...
Oui, on n'est pas sur le chemin de retrouver un peu de souffle, celui de l'engagement militant, enthousiasme et surtout un peu « gratuit   ". Auteur anonyme

Un récent focus sur l'évolution des services à la personne mis en place par le plan Borloo en 2005 montre que les objectifs prévus en terme de création d'emploi n'ont pas été tenus . La  promesse  annoncée de 500 000 emplois en 3 ans est  très loin d'être  atteinte. Le secteur privé est en retrait malgré des aides considérables (exonération de  charges et financement de 50% de son chiffre d'affaires par le contribuable). Les postes offerts restent précaires et peu rémunérés. Plus de 2 ans après, il apparaît que le particulier -employeur reste majoritaire, représentant 80 % du secteur. Le dispositif "grandes enseignes" peine à trouver sa place et les consommateurs choisissent  de préférence un  service .de proximité . Pourtant, l'évolution  croissante de la longévité accroît sans répit  la dépendance. 
Où les familles trouveront -elles demain, les personnels qualifiés, capables d'intervenir en toutes circonstances et sur une multiplicité de cas, pour accompagner leur parent dépendant à domicile ? !!