22 février 2015
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~L'œuvre de Goethe exerce très tôt une véritable fascination sur les deux compositeurs contemporains Berlioz et Gounod. Pourtant,, les deux œuvres ne connaissent pas le même succès et l'opéra comique est quasiment vide à la première de la Damnation. Cette oeuvre immense est mal comprise aussi bien à l'époque de sa création qu'aujourd'hui .. Sans doute la partition retrace-t-elle trop l'histoire personnelle de Berlioz, personnage déroutant dont la source d'inspiration reste essentiellement lui-même. cette "légende dramatique",, miroir d'une vie, sonne comme la traduction d'une philosophie profonde , la recherche désespérée d'un bonheur idéal..Pourtant, ces jours derniers, à Bordeaux,sous la baguette de Paul Daniel, les belles voix de Méphisto, de Faust , de Marguerite et des chœurs de l'Armée française, de l'opéra, de la jeune académie vocale d'Aquitaine , l'Auditorium résonne pourtant encore de ce cri romantique mal connu ..
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6 février 2015
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19:24
Une simple chanson a la pouvoir de réveiller les souvenirs les plus enfouis, de ressusciter des ambiances, un état d'esprit. La musique ponctue notre existence, rythme notre mémoire. Une mélodie symbolise pour chacun d'entre nous, toute une époque...
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21 avril 2014
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10:41
~ Chers amis mélomanes et soutiens de l'Ensemble Vocal d'Aquitaine et du Grand Choeur de Polifonia, notez bien ces deux dates Pour la première fois nous chanterons pour vous A L'AUDITORIUM DE BORDEAUX, grande première pour un choeur de Bordeaux et grand plaisir pour les musiciens et pour le public. Ces trois oeuvres de Schubert sont différentes et toutes trois très belles. Beau quatuor, grand choeur et grand orchestre, ce sera un beau concert. Ne le manquez pas. Le placement est libre (heureusement, on y voit et on entend de partout) Pour ceux qui achètent des places via notre site internet* à 35€, ils auront des places privilégiées tout près de la scène. Pour ceux qui achètent des places à 18€ via notre site internet, ils seront situés au 2ème balcon de l'auditorium (seuls Polifonia et les points de vente habituels vendent ces places) Les places vendues en prévente auprès des choristes sont à 30€. Le concert est toujours gratuit pour les mineurs accompagnés. Au plaisir de vous savoir dans la salle et avec nous pour cette belle oeuvre. !!
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24 janvier 2014
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18:18
L'opéra de Gershwin, interprété par la troupe sud africaine Catfish Row à l'opéra de Bordeaux, illustre parfaitement le propos de Cervantès:
" Qui chante fait fuir ses maux".
Les artistes , enthousiastes, chantent avec leur coeur et leur corps. Le personnage de Porgy, athlète faux infirme, est le symbole de la force, de la détermination , de l'optimisme et
la musique de Gershwin, véhicule idéal de l'expression de toutes ces émotions et de cette exubérance, permet une réelle communion de la salle et de la scène.
Un melting pot lyrique très applaudi !
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20 janvier 2014
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13:35
Stanislas de Barbeyrac,
qui a commencé avec les Petits Chanteurs de Bordeaux, a chanté à l'Ensemble Vocal d’Aquitaine puis au Madrigal de Bordeaux avant d' «entrer en opéra » Bastide puis Bastille, et que nous
avons retrouvé avec bonheur comme soliste dans Puccini puis Berlioz, concourt aux Victoires de la Musique Classique 2014, dans la catégorie Révélation Artistique Lyrique.
Il faut soutenir ce magnifique ténor dont la musicalité profonde alliée à une générosité sans faille nous a tous
séduits !
Votez tous les yeux fermés (mais les oreilles grandes ouvertes !) pour Stanislas qui va très certainement devenir
l’un des ténors français qui marqueront leur époque !
Soit sur le site de France3 :
http://www.france3.fr/emissions/les-victoires-de-la-musique-classique/votez-pour-les-revelations-2014_162336
Soit sur le facebook de l’émission :
https://www.facebook.com/LesVictoires
69 56
Site : www.polifoniael.org
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2 décembre 2013
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18:12
Si vous souhaitez vous désinscrire de notre liste de diffusion :
© Association Polifonia Eliane Lavail 2013
Courriel envoyé avec le logiciel EMA http://emailingautomate.free.fr
EMA est gratuit pour une utilisation non-commerciale
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1 décembre 2013
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10:38
Le triomphe fait à Giuseppe Verdi à la première d'Othello, à La Scala, en 1887 ,ne se démentit pas. Mû par sa fascination pour Shakespeare, par sa crainte de ne pouvoir réaliser
cette oeuvre car il a atteint 70 ans, par une expressivité renouvelée, sa partition, incandescente et raffinée, exalte la passion par des contrastes d'un réalisme étonnant, mettant en
scène des personnages de la fin du XVème siècle dans l'île de Chypre, alors sous la domination vénitienne. Le déchaînement des éléments maritimes,la violence de la tempête, celle de la
passion d'Othello pour Desdémone, la haine de Iago, constituent les clés paroxysmiques du drame qui se prépare, explose et s'achève par la mort des deux époux...
Une magnifique soirée de tourments à l'opéra de Bordeaux..
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14 octobre 2013
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22:14
Richard Wagner n'aurait pas pu espérer une salle plus favorable à l'explosion de son génie hors norme que le nouvel Auditorium bordelais.!
L'ouverture et la Bacchanale de Tannhäuser où Wagner se montre tour à tour fantasque, révolutionnaire et ombrageux, précèdent le prélude de Tristan et Yseut où le paroxysme de la passion
amoureuse rejoint un acte de portée métaphysique par lequel l'art crée l'illusion d'une parfaite identité de l'exrême existence et de l'anéantissement .
Le nouveau chef, Paul Daniel, se joue des difficulés musicales et conduit son orchestre avec une maestria tout empreinte de sensibilité romantique .
Excellente soirée où la magie de la musique entraîne le public dans une communion pleine de ferveur..
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16 septembre 2013
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09:36
L’œuvre de Mendelssohn, très rarement exécutée, est donnée à l’occasion du bicentenaire de la naissance du compositeur allemand et de la clôture de l’année
Saint Paul.
L’oratorio Paulus écrit entre 1834 et 1836, a été certainement le plus populaire au temps du compositeur ; créé à Düsseldorf pour la célébration de Pentecôte sous la direction de
Mendelssohn alors directeur de l’orchestre et des chœurs de la ville, elle connut immédiatement un succès exceptionnel, puis fut jouée dans toute l’Allemagne, mais aussi en Angleterre, en
Scandinavie, en Pologne, et même à Boston, New-York et Baltimore entre 1837 et 1939.
Car le propos de Mendelssohn est, précisément, de ne pas présenter la geste de saint Paul comme un épisode assez sanglant du christianisme naissant – la lapidation de
saint Etienne, la persécution des premiers chrétiens, sa conversion radicale, son martyre à Rome – mais, au contraire, sous son aspect le plus tendre. Ce qui ne l’empêche pas de mettre en
scène Saül, le nom de Paul avant sa conversion, dans des scènes plus violentes, mais avec une violence contenue, stylisée, presque miséricordieuse…
Dim. 29 septembre (16h) et lundi 30 septembre (20h30) Cathédrale St-André à Bordeaux
Le Chœur Symphonique Polifonia et l'Ensemble Vocal d'Aquitaine donnent leurs deux représentations annuelles au profit de la
Ligue contre le cancer.
Ils seront, pour l'occasion, accompagnés de l'Orchestre Aquitaine-Hauts de Garonne sous la direction d'Eliane Lavail.
Paulus de Mendelssohn
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16 septembre 2013
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L’œuvre de Mendelssohn, très rarement exécutée, est donnée à l’occasion du bicentenaire de la naissance du compositeur allemand et de la clôture de l’année
Saint Paul.
L’oratorio Paulus écrit entre 1834 et 1836, a été certainement le plus populaire au temps du compositeur ; créé à Düsseldorf pour la célébration de Pentecôte sous la direction de
Mendelssohn alors directeur de l’orchestre et des chœurs de la ville, elle connut immédiatement un succès exceptionnel, puis fut jouée dans toute l’Allemagne, mais aussi en Angleterre, en
Scandinavie, en Pologne, et même à Boston, New-York et Baltimore entre 1837 et 1939.
Car le propos de Mendelssohn est, précisément, de ne pas présenter la geste de saint Paul comme un épisode assez sanglant du christianisme naissant – la lapidation de
saint Etienne, la persécution des premiers chrétiens, sa conversion radicale, son martyre à Rome – mais, au contraire, sous son aspect le plus tendre. Ce qui ne l’empêche pas de mettre en
scène Saül, le nom de Paul avant sa conversion, dans des scènes plus violentes, mais avec une violence contenue, stylisée, presque miséricordieuse…
Dim. 29 septembre (16h) et lundi 30 septembre (20h30) Cathédrale St-André à Bordeaux
Le Chœur Symphonique Polifonia et l'Ensemble Vocal d'Aquitaine donnent leurs deux représentations annuelles au profit de la
Ligue contre le cancer.
Ils seront, pour l'occasion, accompagnés de l'Orchestre Aquitaine-Hauts de Garonne sous la direction d'Eliane Lavail.
Paulus de Mendelssohn
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